Phylactère n°4
« Ce que nous écrivons est plus grand que nous » (Lionel Ray, Éloge de l’éphémère, Gallimard, 2004, p.171).
J’aime cette idée de grandeur, qui n’a rien d’héroïque, mais dit bien l’aspiration secrète qui est au coeur de tout geste d’écrire. Une sublimité dérisoire, essentielle et pathétique.
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